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Musique 4 the masses - Page 5

  • Thème de Mariage : Musique

    Le thème de mariage Musique est un thème contemporain, moderne et convivial. Ce n'est pas un thème de mariage mais plusieurs thèmes au choix, selon vos goûts musicaux et votre curiosité. Vous pouvez axer votre décoration de mariage rock, pop, classique ou encore musiques du monde, c'est à vous de choisir selon le tarif musicienne de mariage qui vous est proposé.

     

    Le lieu de réception
    En terme d'organisation du mariage, Choisissez un lieu de réception en rapport avec le thème de mariage : une salle de concert, un théâtre, un parc avec un kiosque à musique, un opéra, une salle de danse, etc.

    La musique du bal et du cocktail de mariage
    Là c'est carrément un orchestre qu'il faudrait pour jouer sur tous les thèmes musicaux de ce jour. par contre les prix vont exploser ! Voir le spécial "prix musicien mariage" que des violonistes éclectiques  proposent sur leurs sites web : cela vaut le coup de négocier et s'y prendre à l'avance. ne pas oublier : dans un mariage musical, le musicien sera parfaitement  à son aise !

    Les tenues de mariés
    Choisissez une robe de mariée sobre aux lignes droites, courte ou longue. Vous la trouverez parmi les robes de créateurs tendance 2018 :  Alberta Ferretti, Alexis Mariage, Amarildine, Herve Mariage, Catherine Varnier, Cymbeline, Cosmobella, Illi Tulle pour Complicité, Jesus Peiro, Luis Santana pour Complicite, Lambert Créations, Jose Ma Peiro, Suzanne Ermann, Pronuptia Studio.

    Si vous faites un cortège d’enfants d’honneur, choisissez des robes blanches avec de jolies ceintures noires. A la sortie de la cérémonie vous pourrez leur mettre à disposition des petits paniers remplis de confettis sous forme de notes de musique ou des bulles de savon.

    Le faire-part
    Un faire-part de mariage noir et blanc dans de jolies enveloppes « partitions » ou un save the date vidéo en chansons ! :

     

  • Album jazz : The Omer Avital Group - Think with your heart

    jazz.JPGUn superbe disque, qui sort d'ailleurs un peu de l'esthétique générale du label, en intégrant des éléments de folklore israélien, et plus largement orientaux, dans un jazz de moyenne formation qui rappelle par instant le jazz workshop mingusien. Omer Avital, le leader du groupe, est d'ailleurs lui aussi contrebassiste.

    Le disque commence par une belle reprise de Redemption Song de Bob Marley à la contrebasse solo avant d'évoluer vers un jazz qui fait la part belle aux anches.

    L'un de mes préférés de la série.

     

     

  • Phoenix - Wolfgang Amadeus

    phoenix.JPGEt oui encore du Phoenix, mais j’avais promis un post pour la sortie de leur album “Wolfgang Amadeus Phoenix“‘. Je ne me lance pas dans une grande chronique, mais tout ce que je peux vous dire, c’est que ce LP est de très bonne facture. Certes il manque  la petite étincelle qui fait d’un album un classique, mais les mélomanes seront tout de même heureux à l’écoute de titre comme Rome (attention tube en puissance) ou le merveilleux Love Like A Sunset et son intro qui met sur le cul (paf un réferent google).

    Au passage, hier est sortit l’album de datA, allez l’écouter également, je n’ai pas encore de support physique dans les mains pour vous poster des sons mais Skywriter est disponible sur Spotify  (mention spéciale à Morphosis). J’en reparle prochainement.

  • Dan Auerbach - I Want Some More

    dan.JPGL’exilé des Black Keys nous offre avec son Keep It Hid un superbe album (dont tous les titres sont à l’écoute sur son myspace) entremêlant folk, rock, reggae et électro avec grande maitrise et ingéniosité.

    Des chansons très riches et influencées, offrant un vrai régal pour tous les amateurs.

    Comme quoi, parfois, ça a du bon de prendre le large.

  • The Modern Lovers : She Cracked

    modern.JPGJ'ai mis le premier album des Modern Lovers de Jonathan Richman ce matin dans la voiture. Pas un mot sur cet album dans Please kill me. Pourtant une merveille de proto-punk Velveto-Stoogien. Un disque énorme. Peut être parce qu'il est sorti trop tard. 1976. Alors qu'il a été enregistré entre 71 et 72. Bien avant le premier n° de Punk, celui avec la caricature de Lou Reed en couverture.

    She cracked est la plus grande chanson à écouter le casque sur les oreilles en marchant dans la rue sous le soleil.  Je l'avais dans la tête ce disque hier soir, dans la pénombre de la chambre, peut être parce qu'on avait écouté Rock'n roll with The Modern Lovers dans l'après-midi. 

  • Dance : Mondkopf - Galaxy of Nowhere

    mondkoff.JPGLe morceau qui décrirait sûrement le mieux le répertoire Mondkopf serait “Ave Maria” en live edit (sortit sur son EP Declaration Of Principles. Pas besoin de description pour ce morceau qui est une démonstration de l’efficacité de Mondkopf, du BPM à haut régime dopé par de gros synthés. Alors évidemment c’est pas forcément le genre de morceau à écouter pour s’endormir, mais si ta soirée du jeudi ou samedi soir devient trop molle, tu sais ce qu’il te reste à faire. Succès garanti.  

    Pour ce qui est de l’album Galaxy Of Nowhere, je ne peux bien évidemment que le recommander, vous pourrez par exemple trouver des morceaux tels que Speaking with the noiseun des seuls titres noisy de l’album, mais j’ai envie de dire “bordel que c’est planant”, intro quasi pinkfloydienne, nappes à gogo, synthé gras, pitchbend,  et gros mix. “Speaking with the noise” c’est typiquement le genre de morceau qui peut vous amener haut pendant quelques minutes sans même un coup de grosse caisse, et là je dis respect

     

    Et pour ceux qui apprécient les précedents morceaux, pencher vous également sur “Bain du Matin” qui est doté d”un kick classé OVNI, c’est sûrement la conséquence d’être originaire d’une Galaxy of Nowhere

  • CONCERT : THE GATHERING

    concert.JPGAprès un accueil mitigé pour le dernier album en date, The West Pole, cette nouvelle tournée était l'ultime étape pour finir (ou pas) de convaincre les fans du groupe suite au départ de la charismatique Anneke van Giersbergen.

    Le concert débute par « When Trust Becomes Sound », introduction énergique du dernier album, suivi par une setlist rendant un hommage appuyé aux albums passés que sont Mandylion, Nighttime Birds, How to Measure a Planet?, If Then Else et Souvenirs, Home étant complètement omis de ces festivités, ce qui n'est pas sans provoquer une certaine déception. Car la tournée de The West Pole coïncide également avec les vingt ans de la formation néérlandaise, et même en voulant éviter la psychologie de comptoir, on ne peut s'empêcher de penser que The Gathering a écarté assez clairement l'album qui marque leur rupture avec Anneke van Giersbergen.

    Le deuxième élément très attendu de cette soirée est l'interprétation par Silje Wergeland des anciens titres de The Gathering. La nouvelle recrue est chaleureusement accueillie par un public qui parvient à l'émouvoir pour sa « première fois à Paris ». Ce difficile exercice est admirablement relevé, la jeune femme alternant sans difficulté nouveautés et antiquités sonores. En revanche, la différence apparaît nettement lorsqu'elle cherche à imiter les intonations d'Anneke van Giersbergen, tant dans la puissance que dans la technique. Quelques petites incartades qui n'empêchent pas The Gathering de tourner la page du passé.

     

  • A Triggering Myth The Remedy of Abstraction

    myth.JPGPointure du progressif américain, A Triggering Myth ne figure qu’à compter de cette chronique dans nos pages : il était temps de réparer l’injustice. Le groupe fait en effet figure d’ancêtre du genre, puisqu’il a débuté à l’orée des années 90, une période fort peu propice pour se lancer dans ce style de musique. The Remedy Of Abstraction constitue donc son sixième album. A noter que toute sa discographie est disponible chez le label de Ken Golden, The Laser’s Edge.

    A Triggering Myth propose un progressif traditionnel « à l’américaine » qu’apprécieront les amateurs de Happy The Man ou The Underground Railroad (un voisin de label). Les autres auront donc besoin d’un descriptif plus complet, à savoir un progressif instrumental à forte consonance jazz, où les claviers jouent un rôle prépondérant (alternance de sonorités de piano ou « néo ») et dont la complexité l’apparente aussi à la famille du Rock In Opposition.

    A Triggering Myth est donc un groupe à part, presque autarcique, et réservé à une « élite » même si ce n’est pas forcément de son fait : avis aux aventuriers !